Les dossiers qui nous hérissent le poil, qui nous agitent les neurones, qui nous ont fait bondir.
Campagne menée par le CNDF contre les violences sexistes
Samedi 15 janvier, manifestation nationale pour les 30 ans de la loi Veil légalisant l’avortement. 14h, place de la République.
Pour un féminisme d’émancipation... pas d’exclusion ! Le tract que nous avons distribué lors de la manifestation féministe du 8 mars 2005
Manifestation + fête féministe le samedi 7 mars 2009
En ce temps là, il y avait deux catégories d’humains, qu’on appelait hommes et femmes. Quelle drôle d’idée !
Eduqués pour devenir machos, les hommes devaient dominer les femmes. Eduquées pour devenir soumises, les femmes devaient servir les hommes. Les hommes dits efféminés étaient raillés et stigmatisés. Les femmes dites masculines étaient raillées et contraintes à la féminité. Infranchissable était cette barrière. Celles qui s’y risquaient, transexuelles et transgenres, étaient mises au ban de la société.
La famille était incontournable, chacun était tenu d’en fonder une
La famille était épanouissante : autorités inébranlables, viols, violences.
Libérées, les femmes travaillaient comme les hommes avec un salaire moindre, tout en assurant les tâches ménagères.
Le plaisir et la sexualité étaient des affaires d’homme
Les femmes devaient ranger leurs sexualités au placard. Celles qui transgressaient étaient estampillées « salopes ». Le plaisir de La femme n’existait qu’au travers du regard de L’homme. L’usage du préservatif dépendait du bon vouloir deshommes. La pornographie avilissait les femmes au lieu de célébrerles sexualités. La question de la sexualité entre femmes était vite réglée : « sans bite, vous imaginez du plaisir ? » L’accès à la contraception et à l’IVG restait un combat quotidien. Les messieurs se devaient de tenir la porte aux dames et de les peloter, même si elles disaient NON.
Qu’il paraît archaïque ce monde !
C’est pourtant celui que nous souffrons.
Femmes, trans, gouines, pédés, imposons-nous dans nos vies, au travail, dans la rue, dans nos luttes politiques. Cesson d’être complices. Malgré leurs enracinements, la domination masculine et le sexisme ne sont pas naturels !
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Notre adresse postale : Les Panthères roses - Maison des associations du 10ème - 206 quai de Valmy 75010 PARIS
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